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Bonsoir,
Si le plein format bénéficie d'une plus grande sensibilité du capteur, les techniques des prises de vue nocturnes ne diffèrent pas des formats plus modestes, tel l'APS-C.
La principale différence avec les photographies diurnes est qu'il faut absolument travailler en exposition manuelle, sur pied, et de préférence à l'aide d'un déclencheur distant pour ne pas faire bouger le boîtier en manipulant le bouton du boîtier.
Le choix de l'ouverture du diaphragme repose sur les mêmes critères que tout autre situation.
Le temps d'exposition repose sur l'expérience et l'analyse de la scène : son contenu, les sources de lumière, etc. Quand on débute dans cette voie, rien ne vaut l'expérimentation, avec d'éventuelles prises de notes par rapport aux résultats. Une méthode grandement facilitée par le numérique et la gratuité des clichés, que l'on peut multiplier à l'envie.
Inutile de souligner qu'il faut shooter en format RAW (ou RAW + JPG) pour plus de latitude dans le rééquilibrage entre les hauts, moyens et bas niveaux à l'aide d'un soft de dématriçage (tel IDC de Sony à minima, ou d'autres plus sophistiqués, mais aussi plus délicats à manipuler pour un non expérimenté).
Bonsoir,
Si le plein format bénéficie d'une plus grande sensibilité du capteur, les techniques des prises de vue nocturnes ne diffèrent pas des formats plus modestes, tel l'APS-C.
La principale différence avec les photographies diurnes est qu'il faut absolument travailler en exposition manuelle, sur pied, et de préférence à l'aide d'un déclencheur distant pour ne pas faire bouger le boîtier en manipulant le bouton du boîtier.
Le choix de l'ouverture du diaphragme repose sur les mêmes critères que tout autre situation.
Le temps d'exposition repose sur l'expérience et l'analyse de la scène : son contenu, les sources de lumière, etc. Quand on débute dans cette voie, rien ne vaut l'expérimentation, avec d'éventuelles prises de notes par rapport aux résultats. Une méthode grandement facilitée par le numérique et la gratuité des clichés, que l'on peut multiplier à l'envie.
Inutile de souligner qu'il faut shooter en format RAW (ou RAW + JPG) pour plus de latitude dans le rééquilibrage entre les hauts, moyens et bas niveaux à l'aide d'un soft de dématriçage (tel IDC de Sony à minima, ou d'autres plus sophistiqués, mais aussi plus délicats à manipuler pour un non expérimenté).